
BELAÏDI Nadia

Point focal national France pour l’article 8j et dispositions connexes de la Convention sur la diversité biologique
Directrice de la publication et rédactrice en chef de la revue Droit et Cultures
Coordinatrice du Groupe de travail « Paix, Conflits, Environnement », Institut pour la Paix, Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme (FPH)
« Pratiques du droit international de l’environnement », Cycle Master, Majeure « Politique, Écologie et Soutenabilité́ », IEP Sciencespo Lille
Ce programme de recherche s’intéresse à la réponse apportée par les sociétés à l’Anthropocène à partir de la réception de la criminalisation de l’écocide. Il s’appuie sur l’analyse de la construction du crime d’écocide (dans le droit international depuis 1947), des aspirations de la société civile (convention citoyenne pour le climat et mouvement End Ecocide on Earth) et de l’action de l’État français (Loi climat). En plus de l’apport de connaissance, il tend à formaliser la dimension scientifique du droit dans ses spatialités.
Partenaire scientifique (MNHN) et responable du WP “Site uses and heritage perception”
Ce programme ANR propose une approche cosmopolitique des usages et perceptions des sites d’art rupestre afin d’identifier les intérêts des différents acteurs et d’interroger les dimensions construites et performatives des processus de patrimonialisation (coord. M. Duval). Le WP vise à analyser les interconnexions entre les usages sociaux et la complexité des différentes perceptions qui sous-tendent les processus de patrimonialisation sur le massif de l’Erongo (Namibie) dans un contexte de réconciliation post-apartheid.
Le projet ANR JCJC 2021, coordonné par A Maille, a pour objet de cerner les risques et bénéfices des pratiques des zoos. Il propose de développer une approche intégrée pour étudier les perceptions des visiteurs sur la conservation ex situ à partir d’observations.
Le WP s’intéresse aux contenus des ateliers pédagogiques et à leur influence sur les représentations que les visiteurs ont des primates non humains. Il s’agit d’identifier les relations Homme-Nature qui y sont promues en vue de saisir 1/leur influence sur les représentations que les visiteurs ont des primates non humains et 2/ les enjeux de leur protection pour les générations présentes et futures.
Afrique australe : principalement Afrique du sud, Namibie, Zimbabwe
Rio de Janeiro
Négociations internationales (Convention sur la diversité biologique)